Résultats du quiz
B. La plus jeune : nous l'appellerons Kikuko, métisse franco-japonaise de 4 ans, en petite section de maternelle.
A. Un peu plus âgée que Kikuko : Inès, laquelle connaissait son alphabet à deux ans et demi. À quatre ans et demi, elle écrit déjà très bien, en ayant appris à la maison.
E. La même un an plus tard (5 ans et demi), en Grande Section de Maternelle. Étonnant non ? Pas vraiment : Inès était ma voisine de palier et je la voyais presque tous les jours.
Ci-dessous : Inès à 3 ans et demi, quatre, cinq et cinq ans et demi
C. Steven, 7 ans, en grande difficulté en CP (extrait d'un cahier de classe). Présumé dyslexique.
D. Le même, quelques semaines plus tard (soit entre octobre et décembre !). Travail effectué dans le cadre de cours particuliers, à raison de 6 heures par semaine.
F-G. Nous l'appellerons Mamadou. Africain de l'Ouest, 30 ans, analphabète. Il connaissait un peu son alphabet, après une année de cours (?!) au sein d'une association d'alphabétisation parisienne. Confondait encore certaines lettres comme le 'i' et le 'u'. Cours particuliers à raison de 2 heures la séance. Il y aura quatorze séances en tout, soit 28 heures. Ci-dessous, des extraits des séances 11, 13, 14.
Libellés : afrique, afrique noire, alphabet, alphabétisation, analphabétisme, culture, développement, durable, école, éducation, émigration, illettrisme, immigration, immigré, maternelle, sous-développement, tradition
<< Accueil